Poignard Divin de Su’hiss

D’après les textes anciens, une lame recourbée plusieurs fois sur elle-même permettait d’ouvrir les bouteilles. Une autre, plus petite et munie d’un cran, permettait de découper les armures de plaques lourdes pour manger les humanoïdes demeurant à l’intérieur ( bien que seul les Goblinoïdes aient vu un intéret à cette lame...).
Certains philosophes lui accordent 36 lames, douées chacune d’un pouvoir exceptionnel (parmi lesquels, ma foi, des choses bien obscures, comme par exemple La Pince d’Izau la Lente, au pouvoir mal connu), d’autre, plus extravagants, vont jusqu’à lui attribuer 48 lames.
Les descriptions du texte du Codex Debilicum parle d’une arme de petite taille, facilement dissimulable. En l’honneur de leur dieu, des Nains ont essayé de reproduire cet artefact : la tentative, pesant 1527,12 Kilogrammes, est exposée dans les grandes caves de la forteresse de Kol’Shotin’Zeneuttz, la capital des Nains de l’Est.

Cet artefact a été perdu par son dernier possesseur, un barbare, lors d’une soirée de beuverie au "Poney qui Pue", le relais le plus proche de Boulgourville. Il n’a jamais été retrouvé dans les ruines de l’établissement.